Revue protestante de culture
La pensée naturelle que les hommes ont de Dieu est aujourd'hui particulièrement amère. Alors qu'en temps de paix et de prospérité chacun peut remarquer que tout va très bien sans lui et par conséquent se dispenser de répondre à la voix de celui qui nous appelle sur le ton du bonheur, maintenant que le ton a changé, maintenant que les hommes sont appelés sur le ton du malheur, ils n'ont tous à la bouche ou du moins dans le cœur qu'une seule question : Comment Dieu peut-il souffrir ces choses ?